Apprendre l’italien après la retraite: enfin réaliser ce que je voulais depuis longtemps
Je connaissais déjà le CVO, mais c’est la première fois que je suis moi-même participante. J’ai attendu la fin de ma carrière et je me suis inscrite dès ma retraite. Je pars souvent en vacances en Italie et je veux mieux communiquer. Cela me permet d’oser davantage pendant mes voyages. J’ai toujours dit que je voulais un jour apprendre l’italien.
En deux mois, j’ai déjà beaucoup appris et surtout gagné en confiance pour parler. Lors d’un exercice, j’ai présenté une personnalité italienne (Laura Pausini): je me suis présentée, j’ai raconté une histoire et j’ai traduit un texte à l’aide de petites questions. À la maison, mon mari me demande toujours ce que j’ai appris, et c’est agréable d’en parler — même les devoirs deviennent amusants. J’avais un peu peur d’une longue soirée de cours, mais grâce à la bonne méthode, cela se passe très bien. Au début, nous apprenons de nouvelles notions et du vocabulaire lié aux verbes, puis nous faisons une pause de quinze minutes et ensuite nous recommençons avec des exercices pratiques. Par exemple, après la pause, nous étions dans le couloir pour poser des questions à trois autres participants. C’est très interactif et concret. Cela m’a permis de dépasser ma peur de parler.
Je me suis déjà inscrite pour le module B parce que je trouve cela vraiment plaisant. Nous avons un chouette groupe: nous étions 19 au début.
J’apprécie beaucoup la méthode de l’enseignante: vraiment italienne, et elle parle beaucoup italien en cours. Cela fonctionne très naturellement. Je combine les cours avec la garde de mes petits-enfants, et cela se passe sans problème.
À ceyx qui hésitent, je dirais: foncez ! Il faut simplement essayer.